[Action citoyenne]

Mineurs, pauvres, 1,4 milliard, etc.

Contre l’euthanasie sans limite ! 

Faites entendre votre voix

12 avril 2025.


Pendant que tout le monde regarde ailleurs, nos députés ont approuvé en commission un "droit à l'aide à mourir".


Ce projet de loi est l'autre nom de l'euthanasie pour tous.


Leur objectif : un recours possible pour chaque citoyen qui le décidera.


Pour l'instant, les défenseurs de ce texte jurent que l'encadrement est strict et que cela ne concerne que les personnes majeures "en phase avancée ou terminale".


Mais il faut bien lire entre les lignes !


Et si les vraies raisons de ce projet étaient bien moins humanistes et bienveillantes ?


Une mesure pour faire des... économies ?!

Ils ne s'en cachent même pas !


La facilitation du recours à l'euthanasie présente un intérêt économique pour nos dirigeants.


❌ Moins de soins en fin de vie
❌ Moins de traitements onéreux
✅ 1,4 milliard d'euros économisés (au moins) !


Le pouvoir en place en vient à monnayer votre mort !


Je signe la pétition

Des enfants qui pourront demander la mort !

Je signe la pétition

Vous ne rêvez pas...


En coulisses des débats à l'Assemblée, l'euthanasie pour les mineurs est encouragée par...


... la franc-maçonnerie !


Du complotisme de bas étage ?


C'est le Journal du Dimanche qui a sorti l'info en mai 2024 ET dans un récent article du 15 avril 2025 [1].


Pire : des politiciens se sont faits le relai de ce sombre projet.


Voici ce qu'a dit Sandrine Rousseau en commission à l'Assemblée nationale le 14 avril 2025 :


On va encore les laisser faire ?

"Oui mais une pétition, ça sert à rien !"


Si ce projet mortifère ne vous dérange pas, vous avez le droit de baisser les bras.


Sinon, relayez et alertez tout le monde autour de vous.


Juste Milieu s'engage plus que jamais dans la lutte contre cette euthanasie sans limite.


Signez, relayez, alertez
Nous n'avons pas le droit de baisser les bras !


✅ Faites entendre votre voix !


✅ 10 députés de chaque parti seront contactés pour les interviewer à ce sujet sur Juste Milieu


Objectif : 100 000 signatures et je porterai personnellement cette pétition à l'Assemblée nationale


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Nos enquêtes

Les pièges de l'euthanasie sans limite

Ce qui se cache derrière l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD)


- Cette association est (très) souvent mise en avant dans les médias comme le fer de lance de la lutte pour l'euthanasie sans limite.

 

- Problème : dans un article du 15 avril 2024, le Journal du Dimanche présente l'ADMD comme "historiquement liée à la franc-maçonnerie".


Autre problème : on retrouve dans son "Comité d'honneurnul autre qu'Olivier Falorni, le rapporteur général du projet de loi !

,

Les Français sont "pour" l'euthanasie sans limite : pas si sûr !


- "70 % des Français sont favorables à promouvoir une aide active à mourir" : voici le titre d'un article du Journal du Dimanche paru le 1er avril 2023. L'unanimité ne fait aucune doute... ou pas !


- Problème : les sondages Ifop faisant autorité sur le sujet ces dernières années ont été commandés par... l'ADMD ! Ce fut le cas en 2024, 2023, etc.


- Il y a encore quelques jours, nous avons eu droit à ce sondage : "74 % des médecins sont favorables à l'aide active à mourir"
Sans surprise : le sondage a été commandé par l'ADMD en avril 2025 !


IVG, PMA, mariage pour tous : confusions à tous les étages !


- Vous êtes contre l'euthanasie sans limite ? C'est sûrement parce que vous êtes des réactionnaires, conservateurs, horribles suppôts d'extrême droite, etc. (complétez la liste).
Contre le progrès, ceux qui s'opposent sont nécessairement des arriérés. Pour le prouver, le système médiatico-politique pro-euthanasie n'hésitera pas à entretenir la confusion.


- Première preuve en date : Olivier Falorni, rapporteur général du projet de loi, qui déclare le 12 mai 2025 sur France Info au sujet de la frilosité de Bruno Retailleau sur l'euthanasie sans limite : "Retailleau a voté contre la constitutionnalisation de l'IVG, contre la PMA, contre le mariage pour tous, il est contre l'aide à mourir". CQFD.



- Autre confusion : "aide à mourir", "fin de vie", etc. Mais pourquoi la sphère médiatico-politique utilise d'autres termes que celui d'euthanasie, pourtant plus factuel ?
La réponse a été donnée par Olivier Falorni (encore lui) le 12 mai 2025 sur BFM TV : le mot "euthanasie" est trop "connoté négativement".

Les folies de la future loi !


- En France, pour toute opération chirurgicale, un consentement écrit doit être donné par le patient.

Pour l'euthanasie ? Vous n'y pensez pas ! Comme le précise un article du Journal du Dimanche du 25 mai 2025 : "la demande pourra être écrite, mais également faite "par tout autre mode d'expression"".


- Dans le même article cité précédemment, on apprend qu'un magistrat n'aura pas le droit de vérifier le consentement du patient en cas d'euthanasie afin d'éviter les abus de faiblesse, comme c'est le cas pour le don d'organe.


Ce qui se dit dans les médias

10 mai 2025


- Le Parisien : "Aide à mourir : Claeys et Leonetti, les pères de la loi actuelle, en désaccord"
= On apprend que Jean Leonetti, l'un des deux pères de la loi de 2016 qui encadre aujourd'hui la fin de vie en France, redoute les effets néfastes du nouveau projet de loi.


11 mai 2025


- Le Parisien : "Ma fille a eu un départ paisible"
Pour orienter le débat, rien de mieux que de prendre un exemple à l'étranger, aux Pays-Bas exactement, en l'occurrence l'exemple d'un père ayant vécu l'euthanasie de sa fille disparue à l'âge de 39 ans pour "souffrance psychique insoutenable".


- Le Parisien : "Aux Pays-Bas, un large consensus sur le droit à l'euthanasie"
= Dans un élan de propagande assumé, l'article signé Stefan de Vries n'hésite pas à vendre la mèche de l'évolution future du projet de loi débattu en France, à l'image de ce qu'il se passe actuellement aux Pays-Bas : "Alors que l'euthanasie médicale est désormais bien encadrée, certains plaident pour une évolution du cadre légal [...] Le projet de loi qui autoriserait le suicide pour "vie accomplie" aux plus de 75 ans prévoit un accompagnement structuré de six mois au minimum".


- La Tribune Dimanche : l'interview de Bertrand Delanoë - "Si je devais demander une aide active à mourir, je voudrais pouvoir le faire moi-même"
= L'ancien maire de Paris ne cache pas non plus ses ambitions de voir la loi évoluer une fois votée : "La loi ne répondra pas à toutes les situations. Simplement, quand elle sera votée, on pourra peut-être l'améliorer".


12 mai 2025


Libération : "Combat pour l'aide à mourir : François Guillemot, un médecin à la vie, à la mort"
Le chapô de l'article ne laisse aucun doute sur le parti-pris général : "Au cours de sa carrière, ce gastro-entérologue retraité, toujours engagé, a aidé à mourir des patients qui le demandaient. En toute illégalité, mais avec une profonde humanité."

Petite surprise en plus, concernant l'engagement associatif de ce monsieur : l'article le présente comme "adhérent depuis un moment à l'ADMD".


- Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, a donné son avis sur la question, en direct sur France Info : "Entendons ce que nous disent les Français, et n'ayons pas peur de leur faire confiance".
= Par "Ce que nous disent les Français", la ministre fait, sans nul doute, référence aux "sondages" largement relayés par la sphère médiatico-politique... et directement commandés par une association pro-euthanasie (voir plus haut) !


- Toujours dans la catégorie "propagande médiatique", Alain Duhamel sur BFM TV : "Si ma femme ou moi se trouvions dans cette situation-là, évidemment, pour nous, c'est la décision qu'on prendrait".

= Voici la séquence en intégralité, pour un joli moment de journalisme dépassionné et objectif.


13 mai 2025


- Le Monde : publication d'une tribune intitulée "Dans l'aide active à mourir, la participation des médecins retraités volontaires est essentielle"
= La tribune est signée Denis Labayle et... François Guillemot !
Quelle belle surprise : François Guillemot n'est autre que ce gastro-entérologue, membre de l'ADMD, présenté par Libération la veille (voir l'actualité précédente, en date du 12 mai 2025) comme ayant "aidé à mourir des patients" et ce "En toute illégalité, mais avec une profonde humanité". Que le monde est petit !


14 mai 2025


- C'est à peine croyable ! Le député LFI Aymeric Caron, bien connu du grand public, fait partie des soutiens inconditionnels au projet d'euthanasie sans limite.

Hasard du calendrier ou cynisme absolu : le 17 avril 2025, le même Aymeric Caron a déposé à l'Assemblée une proposition de loi contre les "euthanasies dites "de convenance"... des chiens et des chats dans les fourrières et les refuges" ! L'information a notamment été reprise dans Le Canard enchaîné du 14 mai 2025.

Vous ne rêvez pas : pour les humains, on face... mais pas pour les chiens et les chats !


23 mai 2025


- Le Figaro : 600 psychologues, psychiatres et psychanalystes signent une lumineuse tribune alertant sur les "terribles conséquences" de la proposition de loi actuelle concernant la prévention des suicides.

Un argument frappe par sa pertinence : "Les pays ayant légalisé une forme de mort provoquée, comme les Pays-Bas ou l'Oregon, voient leurs taux de suicide augmenter. Aux Pays-Bas, les suicides nont assistés ont grimpé de 28 % entre 2010 et 2021, tandis que dans les pays européens sans euthanasie légalisée, ils diminuent. En France, le nombre de suicides est passé de 12 000 en 1990 à moins de 9 000 par an récemment."


25 mai 2025


Le Journal du Dimanche : le député LR des Hauts-de-Seine Philippe Juvin est l'un des députés les plus en vue pour s'opposer à ce projet de loi pour l'euthanasie sans limites. Aussi professeur de médecine et chef des urgences de l'hôpital Pompidou, il livre un interview sans détours.

L'un de ses arguments les plus forts : "J'ai cité une étude publiée en 2022 qui montre que 3 % des patients demandent la mort le jour de leur arrivée en soins palliatifs. Ils ne sont plus que 0,3 % au bout de sept jours".